Cuisine Mode d’emploi(s) : une huitième école ouvre à Toulouse

Les stagiaires de l'école Cuisine mode d'emploi(s) avec Muriel Pénicaud, Thierry Marx et Jean-Luc Moudenc.

Les stagiaires de l'école Cuisine mode d'emploi(s) avec Muriel Pénicaud, Thierry Marx et Jean-Luc Moudenc.

La huitième école de Thierry Marx a été inaugurée ce mardi 3 juin au Grand Marché Min Occitanie, le Marché d’Intérêt National, en présence de la ministre du travail Muriel Pénicaud. Le même jour, le salon Smac dédié au recrutement dans les secteurs agroalimentaires et culinaires était organisé. 

 

La  huitième  école Cuisine Mode d’emplois est installée au Grand Marché Min Occitanie  et  a  été inaugurée ce lundi 3 juin. Le rugbyman Thierry Dusautoir, les chefs Jérôme Cordier et Bernard Bach, le chanteur Nordine du groupe Zebda sont les parrains de cette nouvelle école. Onze stagiaires ont déjà été intégrés.  A leurs côtés, la ministre du travail Muriel Pénicaud, la présidente de région Carole Delga, le maire de Toulouse Métropole Jean-Luc Moudenc, le président de la Semmaris  Stéphane Alayas  et la directrice du Min Occitanie Maguelone Pontier. L’école Cuisine Mode d’emploi(s) créée par le chef Thierry Marx veut permettre aux publics peu ou pas qualifiés de retrouver le chemin de l'emploi. Avec des sessions de formations sur 11 semaines, qualifiantes et gratuites, Cuisine Mode d'emploi(s) permet aux stagiaires d'acquérir des compétences reconnues par la branche professionnelle et d'être rapidement opérationnels pour accéder à un emploi.

Smac, un nouveau salon pour recruter
L’inauguration de l’école a eu lieu le même jour que le salon des métiers agroalimentaires et culinaires (Smac) qui s’est tenu également au Min. Stands  d’exposition, conférences, et job dating étaient organisés pour attirer des talents dans cette filière.  Maguelone Pontier a rappelé que parmi les 500 entreprises gravitant autour du Min, 200 postes restaient à pourvoir. D’un point de vue économique le Grand Marché Min Occitanie  remonte la barre avec un chiffre d’affaires qui a grimpé de 300 à plus de 400 millions d’euros en 18 mois. 

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