La nouvelle école du numérique AN 21 accueille sa première promotion à Balma

Les membres fondateurs, les élèves, et les personnalités venues à l'inauguration de la nouvelle école AN 21. Nadia Pellefigue, vice-présidente de la Région Occitanie, est la marraine de la première promotion.

Les membres fondateurs, les élèves, et les personnalités venues à l'inauguration de la nouvelle école AN 21. Nadia Pellefigue, vice-présidente de la Région Occitanie, est la marraine de la première promotion.

Ce mardi 7 octobre, la nouvelle école AN 21 était inaugurée  à Balma. AN 21 a l’ambition de former des informaticiens alliant des compétences de développement, d’IA et de cybersécurité. Proche de la demande des entreprises mais aussi ouverte sur d'autres horizons que la technique pure, l'école veut matcher le plus possible avec les attentes des employeurs.

 

En présence de Nadia Pellefigue, vice-présidente de la Région Occitanie, et de Vincent Terrail-Novès, maire de Balma, les six membres fondateurs de l’Académie Numérique du 21ème siècle (AN 21) présentaient leur projet : une école en corrélation totale avec les attentes des entreprises qui cherchent à recruter des profils de développeurs, combinant aussi des compétences sur la cybersécurité, l’analyse de données, l’IA.... Jean-Nicolas Piotrowski, fondateur dirigeant d’ITrust (48 salariés, ; CA : 4 M€ en 2019), est le président de cette association au budget de 300 000 € : « Un club d’entreprises s’est constitué autour de ce projet et celui-ci influe fortement sur les contenus de nos formations ». La directrice est Nathalie Raynaud, à la tête d’Addcom (société de formation). Alain Rabary (Val Software), Luc Marta de Andrade (U-Need), Anouk Déqué (agence Anouk Déqué Communication) et Benoît Brient (Suez, responsable innovation), sont les quatre autres membres fondateurs de cette école qui a nécessité deux années de gestation avant de démarrer avec une première promotion de quinze élèves. Nadia Pellefigue, vice-présidente de la Région Occitanie, est la marraine de la première promotion.

Bac +2 et appétence pour le numérique exigés
De niveau Bac +2 ou plus, déjà dans un parcours ingénieur ou ayant une appétence pour les disciplines du numérique, les étudiants sont tous des alternants : trois jours en entreprise et deux jours à l’école. IA, cyber, ERP sont les trois formations proposées. Des start-up, PME et grands groupes ont déjà recruté leur(s) aleternant(s) dans cette première promotion : Akka, Alsatis, ATR, CGI, Flutiliant, Geotrend, ITrust, Val Software, Liebherr Aerospace, Partitio, Scopelec, Squoring Technologies. Résolument tournée vers l’avenir, AN 21 propose des méthodes pédagogiques collaboratives et un laboratoire est en train de monter avec une mise à disposition d’une plateforme de tests. Les intervenants sont des experts issus d’entreprises telles que Inbenta, OneWeb Satellites, Hexatrust, mais aussi des personnalités de domaines éloignés des techniques du numériques : un expert-comptable, un professeur de philosophie car l’école. Une deuxième session ouvrira en mars avec l’objectif d’accueillir une vingtaine de nouveaux étudiants.

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