Watertracks. Un robot pour simplifier les travaux sous-marins

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Depuis Pérols, la start-up Watertracks met au point une solution permettant d’extraire les sédiments au fond de lacs artificiels, apportant des avantages écologiques mais également pratiques pour les gestionnaires de barrages tels qu’EDF, qui croit en l’entreprise.

Watertracks a gagné le prix export Marco Polo 2022

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« Nous avons mis au point une technologie de rupture, et si pour l’instant nous l’avons développée pour un marché de niche, elle est vouée à rapidement s’élargir » affirme avec ambition Raphaël Gaillard, cofondateur de Watertracks. C’est aux côtés de Frédéric Gauch, spécialisé dans la robotique sous-marine, que cet ancien salarié d’un groupe de BTP a imaginé et mis au point le premier robot de la start-up héraultaise : « nous développons des gros engins pour des travaux publics sous l’eau. Le premier modèle s’appelle Nessie et pèse 15 tonnes pour 5 mètres de long et 7 mètres de large. Il est capable de draguer entre 50 et 200 tonnes de sédiments à l’heure. »

Pomper les sédiments en amont pour les restituer en aval
C’est en effet dans le dragage, qui consiste à (...)

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